Pour Lavaur : 17 fautes, 38 paniers dont 4 primés, 13 lancers sur 27 tentés
Les pts : Dufaure 13, Destarac 15, Nagau 10, Vieules 4, Calvet 5, Woto 19, Badibanga 19, Chabigara 6, Bernard 2

Après la défaite chez le leader columérin et avec les absences de Cisse et Baba–Alla, les vauréens craignaient se déplacement chez le troisième.
Sous l’impulsion de leur capitaine NAGAU, les tarnais allaient produire une prestation solidaire en défense pour contrer les intérieurs ariégeois et la vitesse de leurs extérieurs.
Soutenus par de nombreux supporters (les benjamines et l’équipe réserve notamment), les protégés du duo Erwan–Pierre allaient remporter tous les quart temps de cette rencontre. Chabigara, Badibanga et Nagau dominant le secteur intérieur. Destarac, Dufaure et Calvet en première mi-temps, puis Woto, Vieules et Bernard en seconde période allaient mettre sous pression des locaux qui s’énervaient petit à petit de leur impuissance offensive.
Inquiétudes côté tarnais lorsque Calvet, blessé à la cheville devait quitter le terrain, puis grosse peur lorsque Dufaure restait allongé sur le sol, touché à un genou (les examens médicaux de lundi nous en dirons plus sur la gravité de la blessure). Finalement c’est Bernard, arrivé au secours après sa rencontre de l’équipe réserve qui devait mener le jeu durant le dernier quart temps.
Félicitations au groupe qui a su réagir dans la douleur et l’adversité avec une mention pour Nagau qui a su insuffler un mental de revanchards à ses coéquipiers.

Pour Lavaur : 24 fautes, 24 paniers dont 3 primés, 17 LF sur 31
les pts : Valdéavéro 10, Raluy 10, Saura 17, Marcilhac 8, Médale 4, Thauzies 1, Boglio 10, Albert 8

Ce derby a tenu toutes ses promesses et la pression a joué un rôle important surtout côté graulhétois où elles devaient attendre la onzième minute pour inscrire le premier panier.
Les vauréennes n'étaient guère mieux loties, mais elles avaient déjà pris les devants et ne les lâchaient pas jusqu’au coup de sifflet final.
Défensivement les protégées de Fabrice allaient imposer un défi physique et trouvaient leur salut par de rapides contre-attaques où un jeu intérieur efficace. Lorsqu’elles étaient en danger c’est à trois points qu’elles se donnaient de l’air.
Toutes les joueuses sont à englober dans les félicitations et elles ont démontré que l’on pouvait compter sur elles pour se surpasser dans la difficulté.