Pour Lavaur : 15 fautes, 50 paniers dont 3 primés, 11 lancers sur 25 tentés
Les pts : Baba-Alla 11, Cisse 16, Dufaure 5, Destarac 14, Nagau 12, Vieules 13, Calvet 2, Woto 16, Chabigara 10, Badibanga 15

De mémoire d’ancien, jamais une formation sénior du club n’avait autant scoré et conclu une rencontre avec un tel écart.
Il faut dire que l’adversaire toulousain n’avait que le courage à offrir à ses supporters et un premier quart temps où ils donnèrent tout ce qu’ils pouvaient.
Après ce fut une démonstration de supériorité athlétique et collective de la part d’une formation vauréenne qui pêche toujours par un manque d’adresse flagrant aux lancers.
Samedi prochain face à Lourdes (l’un des favoris) il faudra tout de même améliorer ce secteur et celui de la défense.
Bravo tout de même aux vauréens qui ne se sont jamais relâchés.

Pour Lavaur : 22 fautes, 25 paniers dont 3 primés, 20 LF sur 33
les pts : Thauzies 2, Bernard 20, Valdéavéro 3, Albert 4, Escourbiac 2, Raluy 19, Médale 2, Boglio 11, Saura 10

Exploit des protégées de Fabrice au terme d’une rencontre crispante de bout en bout.
Privées de Lucy Marcilhac, et avec une Coralie Albert revenant de blessure, les vauréennes avaient emmené Coralie Escourbiac qui fut d’un apport précieux pour la gestion des fautes. Car, privées de Audrey Médale dés la vingt deuxième minute, puis de Déborah Valdéavero à la trente et unième, il en fallut de l’énergie.
Marie Boglio et Christel Thauzies devant défendre sur des joueuses supérieures en taille. Grâce à l’adresse à trois points de leur meneuse et les pénétrations de Christel Raluy et Isabelle Saura, les vauréennes s’acheminaient vers un suucés lorsque les joueuses locales égalisaient d’un tir à plus de neuf mètres à la sirène.
Contraste des prolongations, alors que les joueuses locales avaient été très adroites aux lancers, plus rien ne rentrait. A l’inverse, les vauréennes faisaient quasimment un sens faute avec neuf sur onze et un sept sur sept d’Anne-Laure Bernard qui crucifiait les toulousaines.
Félicitations au groupe qui ne s’est pas désuni dans la tourmente et à su se souder encore plus.